Larmes d’acier est un témoignage de résilience sincère,  une sorte d’anti-ballade folk qui s’amuse avec le cajun.  La fameuse guitare-steel-banjo de Feber apporte une touche particulière à la chanson habilement pilotée par David Châteauvertà la réalisation. À noter également les touches magiques d’accordéon-piano de Claude « Le Clin » Morin, les percussions et la douce voix de Lily Thibodeau.

« J’ai forcé mon succès, yeux fatigués, larmes d’acier. Personne avec qui parler, conversation perdue, Neil est là, il chante pour moi, tu n’peux pas m’enlever ça ! » – Feber E. Coyote

Feber E. Coyoteest originaire de Lévis, auteur-compositeur-interprète autodidacte il jongle avec le folk, le rock et le country avec ou sans son band Les chasseurs de primesdepuis 2007.  Feber, de par sa prose à la fois réaliste et poétique et son jeu de guitare personnel est avant tout un conteur d’histoires à l’instar des Fred Fortin ou Stephen Faulkner.

En 2010 sort le premier disque de Feber « Le Record », un album teinté d’humour, de rockabilly, de folk, de jazz et de rock. L’année suivante Feber est nommé dans les finalistes de la catégorie Découverte de l’annéedu Gala countryde culture country.  Parallèlement à sa carrière sur scène, Feber co-réalise en 2013 l’album : Avec tambour et trompette du groupe trad Le Rêve du Diable.  En 2016, Feber récidive avec un nouvel opus inattendu « Chansons pour Hank ». Pour l’occasion, il réunit plusieurs artistes de renoms dont Roy Dupuis, Maxime Le Flaguais, Véronique Labbé et Howe Gelb pour créer une trame sonore d’un film… qui n’est pas encore tourné « Hank est en ville » ! Coyote, étant également cinéaste, travaille justement sur ce film western-policier dont le tournage a été amorcé en février dernier. Être au service de son œuvre et repousser les limites est l’adage que se donne l’artiste de 36 ans.

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